Je veux un mexicain, juste un seul.

Je suis toujours vivant
J'ai mangé une pizza tartiflette et une pizza avec de la salade et du jambon de parme dessus.
J'ai écouté le dernier album d'Au revoir Simone, il est bien, pop nevralgique.
Je vais bientôt partir à Lyon pour deux ou trois jours sympas comme tout, j'ai déjà envie d'y être.
Vendredi soir je vais voir Justice, Busy P et Sebastian. Bordel, c'est trop bon.
Il y aura sans doute Vicky, je le dépucelle des soirées institubes/ed banger.

Samedi matin j'ai quitté Valence. Toujours cette impression de laisser un bout de moi là bas. J'ai une vie faite de dualisme. Ca m'aura continuellement choqué tout au long de l'année.
Valence c'est vraiment bien, comprenez, j'aime. Cette semaine précisèment j'ai passé deux soirées dont je me souviendrais longtemps, pour plusieurs raisons, qui resteront evidemment secrêtes. Mais c'était complétement fou. J'aime la complicité qui en ressort.

Je suis donc à kerbo, le coeur gros d'être partis, le coeur joyeux d'être revenu. Soirée sympathique chez Matt avec raclette au diner, film en soirée, allergie pour la nuit. Mais c'est pas si grave. J'étais content de revoir tout ce petit monde là aussi. M'avais manqué un peu.

Ce soir j'ai tenté de faire une nouvelle chanson. J'étais partis pour un truc super remuant mais je me suis pas sentis, après une demi-heure j'ai abandonné. Je me suis alors tourné vers un style dub pour me rendre finalement compte que je ne saurais jamais faire un morceau dub de ma vie, trop compliqué, trop de reverb, trop de basses alanguies.

Ma maman m'a acheté une ampoule verte mais j'avais trouvé la même à Valence il y a 1 mois ou deux. On est connecté par les ampoules. Ca sert un peu à rien, c'est juste.
Au revoir Simone, c'est vraiment bien.